Force de coriolis et Anticyclone - ou - Le plaisir de se plaindre un peu
Allez zou, hue cocotte, ouida!
Seb part en vacances au pays des "démonte pneu", "barre à mine" et autre "azur21". Histoire de panser tout ça.
Oh, pas de panique rien de grave, un rien de vitamine D dans du champagne ultra brut (épaisse) et il n' y paraîtra plus !
Relit: Le ravissement de Lol V.Stein
Revisionne: La confusion des genres
Sport: ski sur les cimes de Cioran - enneigement permanent
" Tu es le rocher sur lequel chaque jour je me fends, j'ai beau savoir que tu fais mal j'ai besoin d' y déferler sans cesse [...] J'ai songé qu'au matin je me réveillerai guérie, légère comme au paravant, insouciante du temps qui passe où les minutes et les heures du manque de toi se distordent comme les secondes, des journées infinies"
" Nous ne vivrons jamais ensemble, aucun espace ne nous sera commun, jamais ma clef dans la serrure n'ouvrira la porte d'une vie partagée. Je ne t'attendrai jamais de façon légère, guettant d'un air distrait ton retour, celui de l'être aimé qui rentre le soir, certitude de l'autre, comme un fait acquis. A présent il est trop tard, le temps a basculé, il a trop attendu [...]"
Oh, pas de panique rien de grave, un rien de vitamine D dans du champagne ultra brut (épaisse) et il n' y paraîtra plus !
Relit: Le ravissement de Lol V.Stein
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" Tu es le rocher sur lequel chaque jour je me fends, j'ai beau savoir que tu fais mal j'ai besoin d' y déferler sans cesse [...] J'ai songé qu'au matin je me réveillerai guérie, légère comme au paravant, insouciante du temps qui passe où les minutes et les heures du manque de toi se distordent comme les secondes, des journées infinies"
" Nous ne vivrons jamais ensemble, aucun espace ne nous sera commun, jamais ma clef dans la serrure n'ouvrira la porte d'une vie partagée. Je ne t'attendrai jamais de façon légère, guettant d'un air distrait ton retour, celui de l'être aimé qui rentre le soir, certitude de l'autre, comme un fait acquis. A présent il est trop tard, le temps a basculé, il a trop attendu [...]"
Lettre d'une amoureuse morte - Nathalie Rheims
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